De dominant à dominé...la frontière est parfois tendue!

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il y a 7 ans

De dominant à dominé...la frontière est parfois tendue!

Il y a 6 ans, je suis entré dans une société en tant que cadre et 10 mois près, une jeune femme a rejoint notre service. Nous nous sommes dragués réciproquement et nous sommes mariés dans l'année (je souhaitais rester en concubinage, mais mon amie a voulu absolument le mariage ). Pendant 4 ans, j'ai plutôt mené la barque du couple: J'avais plus de responsabilités au travail, donc gagnais plus. J'étais 2 ans plus âgé que ma femme, ce qui me donnait plus d'assurance dans la vie. Toutefois, je n'ai jamais profité de ma situation légèrement dominante vis à vis de ma femme et notre couple était relativement égalitaire. Financièrement, nous avons toujours été normalement à l'aise et nous avions un compte joint sur lequel nos deux salaires étaient versés et sur lequel chacun de nous avait libre accès.

Je dois reconnaître que ma femme a pendant ces 4 ans assumé toutes les tâches domestiques; mais de mon côté, j'ai assuré toutes les tâches de restauration d'un mas ancien que nous venions d'acheter d'un commun accord, ce qui m'occupait autant que les travaux domestiques de mon épouse, en étant certes plus gratifiant, mais plus pénible.

Il y a 3 ans, à la faveur d'une restructuration de notre société, mon épouse est devenue manager du service dans lequel nous travaillions tous deux , donc ma patronne.

Deux raisons lui ont valu cette promotion: D'une part, elle parle couramment Anglais et Espagnol et c'était une condition pour ce poste (de mon côté, je parle assez médiocrement anglais et bien que j'aie des compétences supérieures sur d'autres plans, cela ne convenait pas pour manager notre service).

D'autre part, le manager américain de notre société mère est une femme depuis 5 ans et sous son impulsion, la politique a été, et est toujours, de favoriser sans ambages la promotion des femmes (nous avons 12 services ici. 9 sont maintenant dirigés par des femmes et il probable que dans quelques temps, il n'y aura plus d'homme chef de service. D'ailleurs, nombre de cadres masculins quittent la société, désespérant d'avoir un jour une promotion et voyant passer devant eux des jeunettes frais émoulues de leurs écoles qui a b u s e nt de leur nouveau pouvoir).

Cette accession à la tête de notre service de mon épouse a été bien accueillie par mes collègues , mais je l'ai assez mal prise (et les réflexions du type "alors, elle va être aussi ta patronne à la maison" n'ont fait qu'accroître cette gêne et cette jalousie). J'ai immédiatement mis les choses au point avec elle en lui indiquant qu'une fois sortis du travail, je ne voulais pas entendre parler de son nouveau rôle.

Les 8 premiers mois, rien n'a changé à la maison et rentrés chez nous, nous ne parlions jamais du travail. J'avais quand même remarqué que mon épouse, ordonnée à l'habitude, laissait maintenant traîner par négligence notre relevé de compte mensuel, sur lequel apparaissaient en premières lignes nos 2 salaires respectifs et comme elle gagnait maintenant beaucoup plus que moi, son salaire était passé en première ligne. Cette vision m'exaspérait et c'est moi qui rangeais vite cette preuve matérielle de sa position dominante De plus, lorsque j'allais à la banque, l'employée qui me servait et qui avait les mêmes données sur son écran me regardait maintenant d'un air goguenard. J'ai même eu une fois par une chargée de clientèle une réflexion du type "nous aimerions que votre épouse vienne nous voir car compte tenu de ses revenus, nous aurions des placements intéressants à lui proposer" et comme je lui demandais si ces placements ne pourraient m'intéresser aussi, elle m'a répondu d'un air légèrement presque dédaigneux " non, votre salaire n'est pas suffisamment élevé".

Cette même chargée de clientèle a plus tard fait en sorte que mon épouse dispose d'une carte de crédit haut de gamme gratuite alors qu'elle me l'a refusée, même en payant une cotisation élevée, pour manque de capacité financière. Toutefois, j'avalais ma rancoeur car le salaire de mon épouse nous permettait d'améliorer notablement notre niveau de vie (achat d'une voiture de haut de gamme, week-end à l'étranger,..) et je trouvais donc quelques avantages à la situation.

Au travail, ma femme était courtoise et seul le fait qu'elle ait un bureau séparé alors que je travaillais toujours dans le local commun avec les autres collègues me gênait. Cela ma faisait drôle d'aller une fois par semaine dans ce bureau lui rendre compte de mon travail hebdomadaire, elle assisse sur son fauteuil cuir pivotant et moi assis sur une simple chaise; je me sentais comme tout nu devant elle et ridicule. Par vengeance, le soir correspondant, je luis faisais l'amour avec une certaine b r u t a l i t é , la rabaissant, l'obligeant à me faire une fellation prolongée et totale pour laquelle elle s'appliquait, avalant jusqu'à ma dernière goutte de sperme, comme pour se faire pardonner son pouvoir professionnel. Elle acceptait même que je la sodomise assez régulièrement alors qu'elle ne m'avait accordé ce plaisir que 2 à 3 fois par an avant son accession à son nouveau poste. Inutile de préciser qu j'éprouvais une jouissance immense à "enculer" ma patronne et à la voir le lendemain souveraine au travail. En bref, je trouvais que notre nouvelle situation maritale avait du bon.

Mais après 8 mois, le temps qu'elle démontre qu'elle avait la stature de chef de service, ma femme est devenue plus exigeante au travail et un soir à la maison, elle m'a annoncé qu'elle comptait nous secouer les puces lors de la réunion de travail du lendemain et que dorénavant, elle ne pourrait plus me ménager, en tant que mari, car elle ne devait pas faire de favoritisme familial. Elle n'a pas voulu faire l'amour ce soir là et quand j'ai commencé à me masturber, elle m'a dit que je ferais mieux d'occuper mon énergie pour améliorer mon travail si je voulais avoir une petite augmentation en fin d'année (car étant chef de service, c'est elle qui décidait et répartissait les augmentations de fin d'année).

Le lendemain, les 21 personnes du service , 19 hommes, moi compris et 2 femmes, se sont pris un savon pour manque de résultats et , fait nouveau, à midi, ma femme n'a pas rejoint ma table, mais est allée à la table des dirigeants sans même m'en avertir.

Le soir, alors que nous rejoignions notre voiture et que j'attendais d'être au volant pour lui reprocher son attitude, elle a sorti ses propres clefs et s'est installée à la place conducteur sans un mot. Je lui ai demandé pourquoi elle prenait ma place et elle m'a répondu "parce c'est MA voiture payée avec MON salaire !" (ce qui était vrai)

Nous sommes rentrés à la maison sans un mot , et alors que je lui demandais de quoi elle avait parlé à table à midi avec les autres managers, elle m'a lancé un méprisant "c'est confidentiel, nous ne devons pas en parler aux subalternes".

En colère et renfrogné, j'ai rejoint le jardin une fois rentré et commencé à tondre. Vers 20 heures, je suis rentré et ai trouvé ma femme installée à notre bureau, en train de lire un dossier. J'ai pris ma douche sans un mot, puis en sortant, je lui ai lancé furieux "tes dossiers , c'est bien joli, mais il faudrait peut être penser à préparer le repas .

Ma femme est alors arrivée dans la salle de bain et m'a dit" ça tombe bien, je voulais justement t'en parler et mettre les choses au point", puis elle m'a poussé, fermement, dans notre salon, encore dégoulinant d'eau et sans me laisser le temps de prendre une serviette, s'est assise dans le fauteuil, jambes croisées haut dévoilant ses bas nylon. Nu devant elle, n'osant m'asseoir car trempé, j'ai immédiatement senti venir une érection incontrôlable à la vue de ses jambes.

Faisant mine d'ignorer ma réaction physique, elle m'a dit que la situation ne pouvait plus durer, qu'elle avait assumé les tâches domestiques sans faillir jusqu'à maintenant, mais qu'elle n'avait plus le temps et qu'ayant nettement plus de responsabilités que moi, il fallait dorénavant qu'elle se consacre exclusivement à son travail. J'ai répondu qu'il n'y avait qu'à prendre une femme de ménage, mais elle m'a coupé la parole me disant qu'elle ne voulait pas qu'une femme travaille à la maison, qu'une employée ne pourrait de toutes façons pas tout faire et être là en permanence. Puis elle m'annoncé qu'on allait dorénavant faire effectuer les travaux d'entretien extérieurs par un jardinier qu'elle avait recruté le matin même par téléphone.

Je luis ai rétorqué que je n'en voyais pas l'utilité puisque je me chargeais moi même de ces travaux extérieurs, mais elle m'a répliqué "dorénavant, tu n'auras plus le temps car j'exige, et elle a pris son ton de manager, j'exige que tu t'occupes à 100% des tâches domestiques, comme je l'ai fait depuis qu'on vit ensemble".

Furieux, j'ai laissé exploser la colère rentrée depuis 8 mois et incapable de me maîtriser lui ai sauté dessus. Je l'ai secouée et lui ai arraché en partie se habits tout en la giflant v i o l emment. Je ne sais pas comment cette bagarre aurait fini tant j'étais hors de moi si (heureusement par certains côtés), elle ne s'était saisie d'un seul coup de mes testicules exposés, les serrant, les tordant et les étirant à un point que je me suis mis à hurler et l'ai lâchée en portant mes mains à ma virilité pour essayer de lui faire lâcher prise. Elle a écrasé de plus belle mes bourses tout en empoignant ma verge de son autre main et en la secouant comme pour l'arracher. Au bout d'un temps qui m'a paru une éternité, elle m'a finalement lâché, me laissant tomber par terre où je me suis roulé en boule protégeant mes boules et attendant que la douleur se calme un peu.

Pendant ce temps, elle m'a annoncé qu'elle allait faire constater ses marques de coups par la police et porter plainte contre moi, puis demander le divorce. D'une part, je ne voulais pas la perdre. D'autre part, j'ai compris que compte tenu des lois très favorables aux femmes lors d'une séparation, de sa situation sociale et de mes torts, j'allais perdre mon domicile, mon travail et me trouver dans une situation financière inextricable, incapable de lui payer sa pension et vite réduit à rien.

Je me suis relevé à genoux et l'ai suppliée de me pardonner, lui disant que c'était toute la frustration accumulée en moi depuis qu'elle était devenue ma patronne qui m'avait fait perdre la tête. Je l'ai suppliée pendant une heure avant de l'entendre répondre "Bon, je te garde, mais je ne te pardonne pas tes coups et à la première incartade, je te vire comme un homme. Puisque tu veux rester avec moi, tu vas être sous mes ordres à la maison comme tu l'es déjà au travail; mais attention ici il n'y a pas le code du travail et tu vas en baver."

Heureux de m'en sortir à si bon compte, j'ai répondu "oui chérie, je t'obéirai à la maison aussi". Mon épouse est alors sortie sans mot dire, est revenue presque immédiatement avec une tringle à rideaux en bois et m'as dit "pour commencer, tu vas recevoir ta première fessée en représailles des coups que tu m'as donnés. Penche- toi en avant sur le dossier d'une chaise et tends ton derrière, je vais te faire passer l'envie de taper sur une femme". Je me suis exécuté et elle m'a cinglé les fesses pendant 20 mn, sans se laisser infléchir par mes cris et par mes larmes que je n'ai pu retenir longtemps tant mes fesses me brûlaient; de plus à chaque coup, mes bourses gonflées et douloureuses se balançaient accroissant encore la punition.

Elle m'a ensuite dit "maintenant, vas préparer le dîner, cet exercice m'a donné faim" . Anéanti de douleur et d'amertume, je n'ai rien répondu, ce qui a été ma principale erreur car je crois que j'aurais pu arrêter le processus qui m'a conduit à être aujourd'hui le larbin de la maison.

Elle a terminé son intervention par un méprisant "Et vas t'habiller pour commencer, tu es ridicule avec ton zizi en l'air et n'oublies par d'essuyer l'eau que tu as mise partout avant d'aller préparer ce dîner". Le reste de la soirée a été un enfer. Mes organes gonflés serrés dans mon slip rendaient chaque mouvement pénible et j'étais perclus de douleur lorsque j'ai eu terminé de ranger et de faire la vaisselle.

Ma femme m'as alors dit, "Vas te coucher, demain tu te lèveras à 5h00 pour préparer le petit déjeuner et me servir au lit". Après quelques minutes, elle m'a rejoint et avançant sa main vers mon bas-ventre s'est emparée brutalement de ma verge douloureuse la masturbant jusqu'à ce qu'elle durcisse. Ayant obtenu une raideur suffisante, elle s'est empalée à califourchon et s'est mise à aller et venir sur mon membre. Ce qui à n'importe quel autre moment aurait été un intense plaisir s'est transformé en supplice; ses fesses fermes écrasant mes testicules meurtries à chaque descente. Dès qu'elle à joui, elle s'est retirée, a éteint la lumière et a dit "tu dors maintenant, debout demain 5 h00"

Depuis cette soirée, les choses n'on fait qu'empirer. A la maison, elle fait régner un discipline de fer exigeant selon son humeur que je sois nu ou vêtu d'une tenue de bonniche et d'une perruque, car elle ne supporte pas ma calvitie naissante, pour effectuer mon travail ménager et prenant parfois des photos qu'elle range dans un album caché pour m'humilier.

J'ai découvert que l'ensemble des tâches domestiques de la maison monopolise tout mon temps en dehors du travail, d'autant que mon épouse ma fait souvent refaire des travaux qu'elle estime mal faits et qu'elle prend un malin plaisir à changer de tenue presque chaque jour, accroissant ma charge de repassage. De toutes façon, faisant les trajets aller et retour du travail avec elle, en tant que passager car elle ne m'autorise plus à conduire sa voiture, je n'ai pas de moment pour échapper à sa surveillance.

Elle utilise peu les punitions corporelles pour maintenir son autorité, mais elle y a recours sans états d'âme quand j'ai fait quelque chose qui lui déplaît et chacune des fessées qu'elle m'applique me laisse des souvenirs douloureux pendant plusieurs jours.

Professionnellement, je suis toujours au même poste et au même salaire (cette stagnation de carrière est directement lié à l'action de mon épouse) alors qu' elle a été promue deux fois et bien qu'elle ne soit plus ma patronne directe, je lui suis hiérarchiquement très très inférieur. Je n'ai plus qu'une vague idée de son travail car elle me tient dans l'ignorance absolue de ses responsabilités, par contre je connais son salaire: 5 fois supérieur au mien.

Depuis l'an dernier, elle m'a d'ailleurs retiré chéquier et carte bleue et me donne au fur et à mesure l'argent dont j'ai besoin, surtout pour les achats domestiques car je n'ai plus de besoins personnels faute de temps. Quand je lui demande de l'argent, elle me le donne souvent avec un commentaire du genre "tu dépenses beaucoup trop, heureusement que je suis là pour gagner l'argent du ménage".

Pendant quelques temps, j'ai réussi à soutirer discrètement de l'argent dans son sac à main, mais elle m'a trouvé en train de le faire et m'a m'envoyé son genoux dans les testicules avant de me faire construire le week-end suivant, une sorte de pilori où elle m'a emprisonné une nuit entière et qui est devenu une de mes hantises.

Toutefois, ce qui m'est le plus dur à supporter dans ma nouvelle vie est sa dictature sexuelle. Nous ne faisons l'amour que quand elle l'a décidé, 2 à 3 fois par mois, soit beaucoup trop peu à mon goût. En plus, je n'ai droit qu'aux prestations minimum et bien que je lui pratique de longs cunilingus, elle ne daigne me faire de fellation que le jour de mon anniversaire. Je pense que le manque total d'envie sexuelle de mon épouse provient en partie du fait qu'elle soit avoir des amants, ce qui lui est facile car elle est souvent en voyage d'affaires alors qu'elle me sait à mon travail ou à la maison en train d'effectuer les corvées qu'elle m'a planifiées avant de partir.

Mes soupçons viennent aussi du fait que lorsqu'elle revient de voyages, ses culottes que je lave toujours à la main sont très sexy et semblent parfois tâchées de sperme. Toutefois, je n'ose aborder le sujet avec elle de peur des ses punitions. J'avais trouvé un échappatoire à cette vie sexuelle réduite en pratiquant activement la masturbation, mais elle m'a d'abord interdit de la faire dans notre lit (bien que ce soit moi qui lave et repasse les draps), puis récemment, elle m'a interdit de me masturber tout simplement, prétextant que j'avais passé l'âge. Depuis quelques mois, s'étant aperçue que je trouvais encore des occasions de me soulager, elle m'a rasé et m'a équipé d'une ceinture de chasteté dont elle garde la clef après son pendentif de cou. Voici un bref aperçu de ce que ma femme me fait subir, mais je l'aime et la respecte.

Thierry

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